oui, c'est vrai, les doutes s'incinuent trop facilement, mais la réalité doit être vue et vécue en beauté. même les moments difficiles nous portent, après un moment de tristesse à laquelle il est
nécessaire de se laisser aller... mais personne n'est sûr de rien, seulement le bonheur est un droit, je dirait même un dû, que nous ne devons qu'à nous-mêmes, et c'est pas tjs facile de
l'atteindre ou de le conserver vivant. mais bon, that's life !
Nicorazon a répondu :
Quand tu fais des maths, de la physique, de la technique (activités que j'ai pratiquées), tu as des doutes, mais cela ne t'engage à rien. Quand tu fais de la philosophie, de la théologie, de
l'éthique, tu as des doutes, mais ils t'atteignent existentiellement : on l'aborde pas la question de la mort, de la violence, du mensonge, de l'injustice, de Dieu, du néant, de l'amour et de la
haine, de l'avenir de la Planète et de l'égoïsme des puissants et des financiers, en restant indemne...
... parce que ça existe !
C'est cela descendre dans l'obscurité. Ou alors, le bonheur n'est que le retour au sein maternel, là où on n'a pas de souci.
Mais je crois de plus en plus qu'il y a de la lumière et de la musique dans cette obscurité. Sa luminosité est peut-être trop aveuglante à voir et sa musique trop sonore pour être perçue sans
prudence. L'être du monde et de la vie m'explose à la figure en permanence... mais on se met souvent les mains sur le visage pour ne pas en sentir les projections. J'ai pris le risque existentiel
de l'affronter. Pas si facile, tu sais.
Merci Cath.
lulu a écrit (le 26/01/2010 à 18h11) :
Nic, c'est la sagesse quand on sait qu'on ne sait pas, c'est à dire quand on prend conscience que notre savoir est petit en regard de tout ce qu'il y a à savoir.
Bonté que ma phrase est alambiquée, mais je crois que tu comprendras!
ceux qui "savent" n'apprendont jamais ...
gm a écrit (le 26/01/2010 à 18h34) :
Dans le doute, je plonge dans le gouffre Mahler.
Ce n'est pas une fuite, c'est une vision différente des choses. Il est vrai que trop penser, nuit à un cocon dont on aime s'entourer. A bientôt ?
... parce que ça existe !
C'est cela descendre dans l'obscurité. Ou alors, le bonheur n'est que le retour au sein maternel, là où on n'a pas de souci.
Mais je crois de plus en plus qu'il y a de la lumière et de la musique dans cette obscurité. Sa luminosité est peut-être trop aveuglante à voir et sa musique trop sonore pour être perçue sans prudence. L'être du monde et de la vie m'explose à la figure en permanence... mais on se met souvent les mains sur le visage pour ne pas en sentir les projections. J'ai pris le risque existentiel de l'affronter. Pas si facile, tu sais.
Merci Cath.
Bonté que ma phrase est alambiquée, mais je crois que tu comprendras!
ceux qui "savent" n'apprendont jamais ...
Ce n'est pas une fuite, c'est une vision différente des choses. Il est vrai que trop penser, nuit à un cocon dont on aime s'entourer. A bientôt ?