Identité
    " Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de questions " (Confucius)
  
  
 Je vais tenter de la symboliser à travers deux analogies : la première est celle de l'amitié, la seconde celle de la création artistique. Ces analogies ne sont naturellement pas exhaustives. Elles sont
      inspirées en partie par le souvenir revisisité d'un roman extraordinaire, "Narcisse et Goldmund" de Hermann Hesse, que le lecteur
      devra lire et imaginer derrière les lignes qui suivent.
Je vais tenter de la symboliser à travers deux analogies : la première est celle de l'amitié, la seconde celle de la création artistique. Ces analogies ne sont naturellement pas exhaustives. Elles sont
      inspirées en partie par le souvenir revisisité d'un roman extraordinaire, "Narcisse et Goldmund" de Hermann Hesse, que le lecteur
      devra lire et imaginer derrière les lignes qui suivent.
     Cela ne signifie pas que la marche ne soit pas aussi un temps de bonheur, ni que la pause n'ait pas sa saveur
  de liberté. Mais d'un côté, dans le risque de la marche, il y a toujours une anxiété en relation avec un péril imprévisible qui se cacherait derrière un arbre ou dans un ravin. Et dans le repos,
  s'agite parfois une petite appréhension de ne pouvoir repartir et se se laisser envoûter par quelque délice de Capoue.
Cela ne signifie pas que la marche ne soit pas aussi un temps de bonheur, ni que la pause n'ait pas sa saveur
  de liberté. Mais d'un côté, dans le risque de la marche, il y a toujours une anxiété en relation avec un péril imprévisible qui se cacherait derrière un arbre ou dans un ravin. Et dans le repos,
  s'agite parfois une petite appréhension de ne pouvoir repartir et se se laisser envoûter par quelque délice de Capoue. J'écris cet article dans un café au bord du Lac d'Aiguebelette, tandis que je regarde depuis la terrasse les championnats de France d'aviron...
J'écris cet article dans un café au bord du Lac d'Aiguebelette, tandis que je regarde depuis la terrasse les championnats de France d'aviron... équilibrée. Elle semble aménagée en direction d'une animation hors circulation automobile, plus proche
  de la vie. Comme il avait plu (ce qui arrive très rarement dans ces contrées), l'animation était inexistante. Dommage. Mais on pourrait imaginer ce lieu habité de peintres et dessinateurs,
  d'artistes divers, de cracheurs de feu, de musiciens et autres saltimbanques oubliés.
 équilibrée. Elle semble aménagée en direction d'une animation hors circulation automobile, plus proche
  de la vie. Comme il avait plu (ce qui arrive très rarement dans ces contrées), l'animation était inexistante. Dommage. Mais on pourrait imaginer ce lieu habité de peintres et dessinateurs,
  d'artistes divers, de cracheurs de feu, de musiciens et autres saltimbanques oubliés.  
     plateaux de verres emplis d'un nectar aux couleurs étranges : le pékèt ! Il s'agit d'un alcool
  fort qui n'a rien à envier à la Chartreuse ou à la liqueur de Genepi, bien au contraire. On le sert habituellement avec un chalumeau crache-feu, tellement il est ardent et venimeux.
  Les petits gosiers fragiles peuvent l'avaler, versé normalement dans des verres ordinaires.  Autrefois, on devait utiliser des lance-flammes, des torches à pétrole ou à gaz. Je dois avouer :
  c'est super bon et n'en ai pas suffisamment profité ! La carte en présente de tous les parfums et de toutes les couleurs.
plateaux de verres emplis d'un nectar aux couleurs étranges : le pékèt ! Il s'agit d'un alcool
  fort qui n'a rien à envier à la Chartreuse ou à la liqueur de Genepi, bien au contraire. On le sert habituellement avec un chalumeau crache-feu, tellement il est ardent et venimeux.
  Les petits gosiers fragiles peuvent l'avaler, versé normalement dans des verres ordinaires.  Autrefois, on devait utiliser des lance-flammes, des torches à pétrole ou à gaz. Je dois avouer :
  c'est super bon et n'en ai pas suffisamment profité ! La carte en présente de tous les parfums et de toutes les couleurs. À Liège, il est en train de se construire une gare splendide. Vue de
  l'intérieur, l'architecture a quelque chose de cosmique, plus proche des épicycles et des rotationnels (*) farfelus de Ptolémée que des cercles concentriques de Copernic. Son créateur est
  l'architecte espagnol Santiago Calatrava Valls qui a bâti la Gare Saint Exupéry à Lyon (d'où je
  suis parti) et bien d'autres merveilles. La gare de Liège-Guillemins fait rêver de voyages et de lumières. Elle nous change de ces gares tellement fonctionnelles (la Gare du Nord à
  Paris, par exemple) où l'on se perd, tellement c'est trop bien expliqué.
À Liège, il est en train de se construire une gare splendide. Vue de
  l'intérieur, l'architecture a quelque chose de cosmique, plus proche des épicycles et des rotationnels (*) farfelus de Ptolémée que des cercles concentriques de Copernic. Son créateur est
  l'architecte espagnol Santiago Calatrava Valls qui a bâti la Gare Saint Exupéry à Lyon (d'où je
  suis parti) et bien d'autres merveilles. La gare de Liège-Guillemins fait rêver de voyages et de lumières. Elle nous change de ces gares tellement fonctionnelles (la Gare du Nord à
  Paris, par exemple) où l'on se perd, tellement c'est trop bien expliqué.|   |   | 
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